À propos de Père David Chenet
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Pénurie de masques : rendons-nous utiles !
Et si nous fabriquions des masques en tissu pour aider à la protection des personnes ?
Depuis quelques jours, chacun est confiné à son domicile, ne sortant que très occasionnellement pour les besoins élémentaires.
Pour autant, ce temps de confinement permet de vivre la fraternité et la solidarité : téléphoner à des personnes isolées, aider pour des courses, etc…
Mais aussi, chacun peut se rendre utile pour aider à faire face au manque de masques de protection. Certains masques spécifiques (ffp2) sont nécessaires au personnel soignant et c’est à lui qu’ils seront réservés. Mais il est aussi possible de fabriquer des masques en tissu qui pourront servir à votre protection, cette de vos voisins… Ils ne protègeront pas de tout, mais ils permettront d’éviter de porter les mains au visage et auront l’avantage d’être lavables, donc réutilisables.
Epidémie, Confinement… Echange avec Monseigneur Centène
Depuis plusieurs semaines, les offices publics sont interdits. Les chrétiens ne peuvent plus se retrouver pour célébrer ensemble le dimanche. Il en est de même pour la Semaine Sainte et le temps de Pâques. Comment les catholiques vivent-ils cela ?
Au début ça a été difficile, les gens ne comprenaient pas que l’exercice public du culte soit devenu impossible, d’autant que le carême est une période où il y a davantage de cérémonies et de réunions à caractère caritatif. Par la suite, au fur et à mesure que la gravité de l’épidémie est devenue plus évidente pour chacun, ils ont compris que la restriction des libertés de se réunir et le confinement étaient nécessaires pour le bien commun. C’est une notion très importante pour les chrétiens et nous nous sommes appliqués à le leur faire comprendre avec pédagogie. Par ailleurs, la messe a été célébrée chaque jour sur RCF-Sud-Bretagne et cette semaine, nous avons même proposé aux chrétiens de vivre une retraite sur les ondes. Les retours que j’ai eus montrent que le carême a été vécu de façon plus dépouillée mais sans doute plus profonde.
En ce temps de confinement, comment les catholiques peuvent-ils vivre le sacrement de réconciliation ?
Les prêtres peuvent toujours confesser les fidèles, dans un lieu non confiné, église ou sacristie, en gardant les mesures de distance et de sécurité qui s’imposent. Ceux qui ne pourraient pas se confesser peuvent faire un acte de contrition parfaite et remettre leur confession pascale à plus tard. Le Saint-Siège a par ailleurs estimé que les conditions étaient réunies pour que les personnes atteintes du covid-19 et regroupées dans un même lieu puissent, exceptionnellement, recevoir une absolution collective.
L’attention et la visite aux malades est une part importante de la mission des prêtres et de certains laïcs : comment cela se passe-t-il en ce moment ?
Les aumôneries des hôpitaux continuent à jouer pleinement leur rôle. Pour ce qui est des équipes d’aumônerie d’EHPAD, c’est plus difficile car le confinement à l’intérieur de ces structures se doit d’être particulièrement rigoureux dans le but de protéger une population fragile et exposée aux complications au cas où elle contracterait le covid-19. Les prêtres restent en contact avec les personnes malades de leurs paroisses par téléphone. Si une visite est nécessaire, ils prennent toutes les précautions de prudence qui s’imposent en cette période d’épidémie.
Comment se portent les prêtres du diocèse ? On sait qu’en Italie beaucoup ont hélas été touchés par la maladie.
Pour le moment, un seul prêtre du diocèse de Vannes a été affecté par le covid-19. Il a dû être hospitalisé et après plusieurs semaines de soins, il semble maintenant rétabli et a pu quitter le milieu hospitalier. Dans la maison de retraite du clergé, les prêtres résidents ont été confinés et jusqu’à présent aucun cas n’a été diagnostiqué.
On entend beaucoup dire que la crise actuelle devrait entraîner, lorsqu’elle sera dépassée, des changements importants pour la société, sur des aspects essentiels. Qu’en pensez-vous ?
Il est évident que cette crise majeure laissera des traces durables. Le confinement de la moitié de l’humanité est un événement inédit dont les conséquences, psychologiques autant qu’économiques, sont encore à venir et insoupçonnées. Les hommes avaient fini par croire aux bienfaits d’un progrès sans limites. Ils se croyaient vainqueurs des maladies et pensaient pouvoir repousser indéfiniment les frontières de la mort. Le consumérisme et le matérialisme avaient étouffé tout questionnement métaphysique. A la faveur de cette pandémie l’homme fait l’expérience de sa vulnérabilité foncière. Face à la mondialisation des relations et à la globalisation de l’économie, il refait l’expérience de la nécessité des solidarités de proximité, des valeurs familiales. La fraternité est remise en lumière là où l’individualisme libéral régnait en maître. Pour survivre l’humanité doit faire front commun : être solidaire. On renonce à la démesure pour construire un monde à l’échelle de l’homme qui s’est redécouvert petit et fragile. Je pense que tout cela ouvrira nécessairement des perspectives civilisationnelles nouvelles.
Quel message d’espérance peut-on porter ?
Le temps que nous vivons appartient à ceux au travers desquels s’écrit l’Histoire du Salut. Les chrétiens, en cette semaine sainte, s’apprêtent à revivre le mystère pascal, c’est-à-dire le mystère de la grande victoire de la Vie sur les forces de la mort. C’est dans cette réalité que s’inscrit notre espérance.
Propos recueillis sur la base d’une interview accordée au Journal Le Telegramme – le 4 avril 2020.
Coronavirus – Communiqué du 15 mars 2020 et complément
A la suite des dernières déclarations de Monsieur le Premier Ministre interdisant tout rassemblement et ordonnant la fermeture des lieux ouverts au public non indispensables à la vie du pays, l’évêque de Vannes prend les dispositions suivantes applicables pour tout le diocèse :
1. En matière liturgique :
a) Toutes les célébrations publiques sont suspendues jusqu’à nouvel ordre. Les mariages et les baptêmes seront reportés. En cas d’urgence, il sera procédé à l’ondoiement.
b) Les obsèques ne seront célébrées qu’en présence de la famille (moins de 25 personnes strictement séparées les unes des autres) (1). Si ces conditions ne peuvent être remplies, une simple prière au cimetière sera dite par le prêtre. On ne sollicitera ni équipe de funérailles, ni chorale, ni animateur de plus de 70 ans. Dans tous les cas, une messe de requiem pourra être célébrée ultérieurement.
c) Puisque Monsieur le Premier Ministre a demandé que les lieux de culte restent ouverts à l’instar des lieux indispensables à la vie du pays, nous veillerons à ce que toutes les églises paroissiales soient ouvertes pour faciliter la prière personnelle des fidèles. Il est bon, qu’à cette fin, l’église soit décorée et éclairée et que des cierges de dévotion soient disponibles. Selon l’opportunité, le Saint Sacrement sera exposé, un chapelet perpétuel ou la « laus perennis »(2) pourront être proposés en veillant à ce que les fidèles se succèdent sans qu’à aucun moment ils soient constitués en groupe de telle sorte qu’en ces temps d’épreuve, la prière ne s’interrompe jamais.
d) La charité qui doit accompagner l’exercice de la charge pastorale requiert que les prêtres restent au milieu de leur peuple y assurant l’intercession propre à leur ministère. L’absence du peuple ne doit pas les empêcher de célébrer quotidiennement dans l’église à laquelle ils sont affectés. Ils n’iront pas célébrer de famille en famille pour éviter d’être par là des vecteurs de la transmission du virus.
e) Les prêtres sauront aussi se tenir à la disposition des fidèles qui souhaiteront faire leur confession pascale. Dans l’accomplissement de ce ministère, ils sauront garder les distances requises et respecter les « gestes barrière ».
f) Les prêtres qui seront appelés pour administrer le sacrement des malades ou le Saint Viatique sauront prendre les mesures sanitaires qui conviennent en ce temps d’épidémie. Ils n’enchaineront jamais plusieurs visites à la suite et veilleront à se laver soigneusement les mains avant et après chaque administration avec un gel hydroalcoolique.
2. En matière pastorale
a) Toute activité pastorale est suspendue.
b) Les presbytères, maisons et salles paroissiales, comme tout établissement recevant du public, sont fermés.
c) Toutes les réunions et tous les repas ecclésiastiques excédant le nombre des commensaux ordinaires de chaque presbytère est interdit.
d) De nouvelles instructions seront données pour l’organisation des fêtes pascales.
e) Pour que la prudence ne tue pas la charité, toutes les personnes de bonne volonté sont invitées à veiller sur ceux de leur entourage qui auraient à souffrir des conséquences de la situation actuelle. On pourra s’organiser en paroisse pour vivre la diaconie en veillant à ce que personne ne manque de rien (courses, médicaments, nouvelles par téléphone, alerte en cas de situation de détresse).
Si nous les vivons dans un esprit surnaturel, les temps d’épreuve et le dépouillement qu’ils entrainent sont toujours une occasion de conversion, de relecture, de retour à l’essentiel. Que ceux que nous traversons, ensemble, aujourd’hui, nous permettent d’approfondir toujours davantage notre foi et notre intériorité. Qu’ils nous permettent aussi d’élargir le champ de notre charité fraternelle pour que nos communautés, renouvelées et purifiées par les épreuves, soient désormais bâties sur le Roc.
(1) Le maître de cérémonie de l’entreprise de pompes funèbres compétente s’assurera du respect de cette consigne.
(2) Récitation continue et intégrale du psautier dans laquelle les participants peuvent se relayer.
+ Raymond CENTENE
Evêque de Vannes
COMPLÉMENT AU COMMUNIQUÉ DU 15 MARS 2020
Vannes, le 17 mars 2020
Après la déclaration du Président de la République hier soir et la consigne de rester chez soi annoncée pour au moins 15 jours et après avis de la conférence des évêques de France, voici quelques mesures qui viennent préciser le dernier communiqué :
- Les églises peuvent rester ouvertes, avec moins de 20 personnes en prière individuelle et à distance les unes des autres. Si cette précaution ne peut pas être respectée dans tel ou tel lieu, on préfèrera fermer l’église. Cette décision se prendra sous la responsabilité du curé ou recteur.
- Si vous jugez possible qu’une messe soit célébrée pour des communautés religieuses bien déterminées, il faut absolument que ce soit sans aucune personne étrangère à la communauté ; que le prêtre reste à distance des Frères ou des Sœurs. Il serait sage que la communion soit distribuée par un membre de cette même communauté.
- Pour ce qui concerne les obsèques, elles peuvent pour le moment être célébrées dans les églises en présence de la seule famille proche. L’assemblée devra être inférieure à 20 personnes et celles-ci devront se répartir dans l’ensemble de l’église. Si cette dernière condition ne peut être respectée, on choisira un temps de prière au cimetière avec la famille. S’il y a Eucharistie, il est préférable de ne pas distribuer la communion aux fidèles. Seul celui qui préside bénit le corps avec l’eau bénite ; les autres s’approchent en respectant les distances exigées et s’inclinent sans toucher le cercueil en faisant le signe de croix sur eux-mêmes.
- Il est nécessaire que seuls les prêtres et les diacres président les obsèques. Pour le moment, les laïcs ne guideront pas les funérailles ni n’aideront à la préparation et à l’animation de la célébration afin de les protéger, eux et leurs proches.
- Pour les mêmes raisons, les laïcs ne sont pas autorisés à porter la communion à domicile.
- Les confessions doivent se faire dans des lieux qui permettent plus d’un mètre de distance et de ne pas se tenir face à face.
- La visite aux personnes âgées et aux familles en deuil peut se faire, mais sans contact, en gardant une bonne distance. Par exemple, si c’est possible, on pourra dialoguer par la fenêtre.
- Le canon 1000, § 2 prévoit que, dans la célébration du sacrement des malades, l’onction d’huile puisse être faite non avec la main mais avec un instrument afin d’éviter tout contact. On pourra utiliser un coton tige que l’on imbibera une seule fois pour le front et les mains.
- Pour tout déplacement lié aux activités du ministère, le prêtre ou le diacre doit se munir de la déclaration nécessaire « attestation de déplacement dérogatoire ».
- Pour permettre l’ouverture et la fermeture des églises, le curé pourra fournir à un laïc une « attestation de déplacement dérogatoire » en cochant uniquement la première case en précisant l’adresse de l’église concernée.
Accueil – Paroisse Sainte Bernadette
Retrouver la paroisse sainte Bernadette sur notre nouveau site internet
Sacrement de réconciliation – Confession
Pourquoi se confesser ?
L’amour de Dieu notre Père ne diminue jamais, ne se lasse pas de nous et ne nous laisse jamais seuls : c’est un amour qui se donne jusqu’au bout, qui nous sauve et veut nous conduire à la vie éternelle. Or, le péché est une blessure : il blesse Dieu, il nos blesse nous et les autres… Laissons-nous guérir !
Pouvoir toujours repartir de nouveau est une des plus grandes grâces de notre vie. Le sacrement de réconciliation nous remplit d’une force nouvelle et nous comble de la joie d’un nouveau départ.
Voici en quels termes le Bienheureux Paul VI évoquait le pardon :
« Nous pouvons donc penser que chacun de nos péchés ou fuite de Dieu allume en lui une flamme d’un plus intense amour, un désir de nous reprendre et de nous réinsérer dans son plan de salut […]. Dieu, dans le Christ, se révèle infiniment bon […]. Dieu est bon. Et non seulement en lui-même ; Dieu est – nous le disons en pleurant – bon pour nous. Il nous aime, nous cherche, pense à nous, nous connaît, nous inspire et nous attend : Il sera – si l’on peut dire ainsi – heureux le jour où nous nous retournons et disons : Seigneur, dans ta bonté, pardonne-moi. Voici, donc, notre repentir devenir la joie de Dieu ».
Comprenant cela, allons fréquemment trouver un prêtre, ministre de la Miséricorde du Seigneur, tâchons de ne pas nous priver de cette grâce plus d’une année.
Si nous avions conscience d’un péché grave, il nous faudrait faire cette démarche le plus tôt possible, et de toutes façons, avant de recevoir la communion.
Comment se confesser ?
Le prêtre est le ministre de la Miséricorde du Seigneur. C’est lui qui, au nom de Dieu, vous pardonnera les péchés que vous lui confesserez. Avant de s’adresser à lui, il est essentiel d’affirmer notre désir de convertir notre cœur, en profondeur… pour le tourner vers Dieu. Laissons-Le nous éclairer sur nos péchés.
Contrition, examen de conscience, absolution, pénitence ? …
La contrition : lorsque notre âme ressent comme une « douleur » suite au péché commis, que ce péché est détesté et que la volonté de ne plus le commettre est ferme.
L’examen de conscience : pour se préparer à recevoir le pardon de Dieu. Il est fait à la lumière de la Parole de Dieu : Sermon sur la montagne, les enseignements des apôtres, etc…
La confession des péchés : Par l’aveu, nous regardons en face tous nos péchés et nous en assumons la responsabilité. C’est cette « liberté des enfants de Dieu ».
L’absolution : « Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde ! Par la mort et la Résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l’Esprit Saint pour la rémission des péchés ; par le ministère de l’Église, qu’il vous donne le pardon et la paix ! Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, je vous pardonne tous vos péchés. »
La satisfaction : Nous sommes relevés du péché, réconciliés avec Dieu par le sacrement. Désireux à présent de « réparer » nos offenses faites à Dieu, il nous reste à mettre en pratique les indications du prêtre pour faire « pénitence ».
L’Amour de Dieu attend notre conversion
Jésus regarde toujours plus loin que notre misère et nos faiblesses. Il nous regarde, chacun d’entre nous, tel que nous serons si nous nous décentrons de nous pour nous unir à Lui, nous réconcilier…
Dieu révèle sa force en aimant toute chose et toute personne. Son Amour Tout-Puissant attend notre conversion.
« Ouvrons notre cœur à l’espérance d’être aimé pour toujours malgré les limites de notre péché (…) La miséricorde sera toujours plus grande que le péché. (Misericordiae vultus).
N’hésitez pas à prendre contact à tout moment avec les prêtres pour vivre ce temps de réconciliation !
La Première Communion
Qu’est-ce que l’Eucharistie?
Le Christ tout entier réellement présent.
Comment ? De manière sacramentelle, c’est-à-dire sous les espèces du pain et du vin. L’Eucharistie est la source et le sommet de toute la vie chrétienne.
« Vous ferez cela, en mémoire de moi » (1 Co 11,24)
Dans l’Eucharistie, le sacrifice de Jésus qui a livré son Corps et son Sang pour nous est rendu présent, de manière « cachée ». Jusqu’à son retour dans la gloire, Jésus a demandé à l’Église de célébrer ce mémorial de sa mort sur la croix et de sa Résurrection.
Une vie nouvelle
L’Eucharistie est un dynamisme. Cette communion au Christ transforme notre cœur en cœur de Fils et nous fait passer de la simple image à la pleine ressemblance à Dieu. Aimons comme Il aime… Laissons l’Amour aimer en nous !
« Fortifiés par l’Eucharistie, nous pourrons apporter l’amour de notre Seigneur et Sauveur à nos frères. Nous serons ses yeux qui vont à la recherche de Zachée et de Madeleine; nous serons sa main qui secourt les malades dans leur corps et dans leur esprit; nous serons son cœur qui aime ceux qui ont besoin de réconciliation, de miséricorde et de compréhension ».
(cf Pape François, Fête du Corps du Christ).
Fortifiés
Dieu nous a créés pour nous rendre heureux en nous faisant communier à Lui. Dans l’Eucharistie (en grec eucharistia, « action de grâce »), nous faisons corps avec le Christ pour rendre grâce à Notre Père, par Lui et en Lui.
Le Christ se donne en nourriture à notre âme ; Il la comble de ses biens et la convertit. Il nous donne ainsi déjà la gloire à venir.
« Devenez ce que vous recevez, devenez le Corps du Christ. Devenez ce que vous recevez, vous êtes le Corps du Christ. Rassasiés par le pain de vie, nous n’avons qu’un cœur et qu’une âme, fortifiés par l’amour du Christ, nous pouvons aimer comme il aime »
Parce que se préparer à Le recevoir dans la Communion eucharistique pour la première fois se fait à tout âge :
n’hésitez pas à nous contacter.
La Confirmation
Qu’est-ce que la Confirmation ?
Toute personne qui a déjà été baptisée peut et doit recevoir le sacrement de confirmation, quel que soit son âge. En effet, la confirmation confirme et renforce la grâce reçue au baptême.
Le don de l’Esprit-Saint est la force d’en haut qui permet au chrétien d’accomplir la grâce de son baptême à travers sa vie, et d’être « témoin du Christ ». Adultes, si vous n’avez pas reçu plus jeunes le sacrement de Confirmation, sachez que vous pouvez vous préparer et demander à le recevoir, quel que soit votre âge. Renseignez-vous auprès d’un prêtre ou contactez le service catéchuménat.
Les rites du sacrement de la Confirmation
Le rite essentiel de la Confirmation est l’onction avec le saint-chrême (huile parfumée, consacrée par l’Évêque). Il s’effectue par l’imposition des mains par le ministre, qui prononce les paroles sacramentelles propres au sacrement. « Sois marqué de l’Esprit Saint, le don de Dieu ».
Monseigneur Centène, évêque de Vannes, développe dans cette vidéo le sens profond des différents gestes et paroles accomplis lors de la Confirmation :
Parce que se préparer à la confirmation et quelque soit votre âge : n’hésitez pas à nous contacter.
La Profession de Foi
Qu’est-ce que la Profession de Foi
La Profession de Foi n’est pas un sacrement, mais un temps fort qui permet aux jeunes de réfléchir sur leur Foi. Sa préparation a lieu au début du collège (6e-5e). Ce ne sont plus leurs parents qui choisissent pour eux : ils manifester eux-mêmes leur appartenance à l’Eglise par la récitation solennelle du Credo.
Cette vidéo ci contre et la playlist l’accompagnant permet aux jeunes de découvrir le sens de cette Profession de Foi et de s’approprier le Credo.
Pour se préparer à la Profession de Foi : n’hésitez pas à nous contacter.